Ces fondamentaux devraient pour chaque citoyen, quel que soit son patrimoine d’origine, de religion ou autre spiritualité, de culture…

se traduire par une intégration pleine et entière dans la Nation française. Intégration, ce n’est pas une simple tolérance :

  • c’est une acceptation réciproque, par chaque citoyen de la République et par la République de chaque citoyen,
  • c’est une acceptation de l’intégralité de la République et de l’intégralité du citoyen, on ne choisit pas chez l’autre ce que l’on accepte.
  • c’est aussi l’acceptation par chaque citoyen de l’autre citoyen.

La société française nous montre autre chose : des refus de la République et de l’autre, des replis identitaires, des discriminations, des discours de haine, des actes de haine, de morts…

Pourquoi cette distanciation entre les fondamentaux de la République et ce constat ?

  • Les religions ou autres spiritualités suggéreraient-elles à leurs croyants, pour le vécu, des valeurs distantes de celles que la République demande au citoyen de respecter, de défendre, de transmettre ?
  • Les valeurs de la République ne seraient-elles plus acquises, plus transmises ?
  • N’y aurait-il plus d’engagement envers ses valeurs et la volonté de les transmettre ?

Et pourquoi cela :

  • Les évolutions de la société sur le plan familial, du citoyen sur le plan de l’engagement envers l’autre qu’il soit proche ou lointain ?
  • Les évolutions de l’éducation, plutôt de la co-éducation enseignants et parents ?
  • Face à cela un immobilisme dans les rites qu’ils soient citoyens ou de passage, voire un recul et une perte de solennité alors que depuis l’origine des temps les rites sont le ciment de toute société ?

sans oublier une perception exacerbée d’éventuelles distanciations et leur promotion facilitée de par le développement des médias dits sociaux.

Voilà les questions qui sont à l’origine de la création du CLUB-ECEF.

Le créer, c’était s’engager sur un chemin dont le but est d’aider la société française à se rapprocher de ce qu’elle devrait être de par les fondamentaux de la République. La première étape de ce chemin, c’était la réponse à la question initiale sur les valeurs pour le vécu, de fait pour la relation à l’autre. Cette première étape franchie positivement permet de poursuivre le chemin, à savoir, après des suggestions, des propositions, des instructions d’actions sur le plan de la transmission, de la co-éducation, des engagements de chacun, notamment par les rites et cérémonies, progresser vers des mises en œuvre pionnières de ces actions, puis vers leur généralisation.

Si vous vous posez ces questions, si les distanciations constatées vous préoccupent, rejoignez le CLUB-ECEF : en tant qu’Acteur, vous choisirez votre champ et votre mode (réflexion ou action), en tant que soutien vous faciliterez le chemin.

GUY LEFRANÇOIS