Ce n’est que fin 1965, lors du concile Vatican II (1962 à 1965), que les relations de l’Eglise catholique avec les religions non chrétiennes : hindouisme et bouddhisme, religion musulmane, religion juive… vont être inscrites dans la déclaration consulaire Nostra Aetate, dont la conclusion est la fraternité universelle excluant toute discrimination